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Né en Grèce, disparu pendant deux mille ans, redécouvert par les Anglais à la fin du XIXe, il a peu à peu conquis tous les publics et tous les pays. Une conquête magnifique – et pacifique. Il a résisté à tout. À la télévision, qui banalise. À l’argent, qui corrompt. Il a fait triompher, contre ces deux plaies de la vie moderne, ses évidences : la vérité contre l’artifice, le courage vrai, le dépassement de soi, l’esprit d’équipe. Chaque jour, il nous rappelle le message de la Grèce : le monde est plein de merveilles, mais la merveille des merveilles, c’est l’Homme. Il a eu ses peintres et ses poètes, de Giraudoux à Hemingway, et de Paul Morand à Antoine Blondin. Sans oublier Montherlant, prince du style, grand parmi les grands, l’auteur du « Paradis à l’ombre des épées » et des « Onze devant la porte dorée ». Voici un livre qui prendra place à côté de ces deux chefs-d’œuvre.
Vladimir Dimitrijevic est aujourd’hui, avec Guy Roux, l’homme qui parle le mieux du football.Lui-même a pratiqué ce jeu depuis l’âge de dix ans, et a été obligé de s’arrêter à dix-huit, à la suite d’un accident. Il nous donne ici un essai lumineux, chaleureux, rempli d’analyses, d’anecdotes, de remarques techniques et psychologiques, de portraits, de souvenirs, sur le Sport-Roi du XXe siècle. Il évoque les grands joueurs, les grandes équipes, les grandes époques. Et l’enfance, qui est l’âme du sport. Un texte où l’intelligence contribue à chaque instant à éclairer la passion.